Bonjour,
Je m’appelle Mathilde BUJEAUD et je suis actuellement étudiante en 4e année de kinésithérapie, à Paris (École de Kinésithérapie de Paris - ADERF).
Dans le cadre de cette dernière année, je réalise un mémoire de fin d’étude.
L’objectif de mon mémoire est de réaliser un état des lieux des pratiques des masseurs-kinésithérapeutes dans la prise en charge des enfants et adolescents de 2 à 18 ans atteints de paralysie cérébrale ayant reçu des injections de toxine botulinique au niveau du triceps sural. Le questionnaire est composé de 28 questions.
Toutes les réponses seront recueillies de façon anonyme et seront utilisées uniquement dans le cadre de mon mémoire.
Voici donc mon questionnaire
Vous remerciant par avance de votre implication, je reste à votre disposition pour toutes informations complémentaires.
Bien cordialement, Mathilde Bujeaud. Janvier 2024.
Dans le cadre d’une étude sur la myopathie spastique des adultes avec paralysie cérébrale, l’équipe BIOTN composée du Dr Maud Pradines (de l’UR 7377 de l’Université Paris-Est Créteil (UPEC)) et du Pr. Jean-Michel Gracies (CHU Henri Mondor, Créteil) recherche des kinésithérapeutes et des adultes avec PC intéressés par une participation à cette étude clinique soutenue par la Fondation Paralysie Cérébrale. Pour en savoir plus, c’est par ici ➡️ https://bit.ly/3Rg3XjA.
Source : www.fondationparalysiecerebrale.org
Une cordée… C’est un groupe de personnes qui discute par un échange de courrier ou sur un forum, sur une thématique de leur choix.
Handicapés : la sexualité est encore à conquérir.
http://www.rfi.fr/radiofr/editions/082/edition_82_20090404.asp
Une émission Radio du Samedi 4 avril 2009 RFI
dans l’émission Microscopie 20 heures.
« On a tous besoin d’amour. On se pose tous des questions sur nos rapports affectifs, sur notre sexualité. Comment cela se passe-t-il quand on a un handicap ? Pareil, en plus compliqué. Quelque soit son degré de handicap, toute personne garde des désirs. Mais en situation de grande dépendance, comment faire pour répondre à ses envies, alors qu’on n’arrive même pas à se brosser les dents seul ? Les personnes handicapées sont un peu plus visibles, la société commence à s’organiser pour apporter des réponses en termes d’accessibilité, dans les écoles, vers le travail, mais pour l’instant, aucune réponse concrète n’est faite concernant la dimension essentielle de la vie : l’amour, la sexualité.
La Loi Handicap de 2005 affirme bien le droit à la compensation de toutes les conséquences liées au handicap, mais dans le domaine de la sexualité, rien. Et pourtant, des solutions existent : en Belgique, en Suisse ou en Allemagne par exemple, les aidants sexuels interviennent pour prodiguer massages, caresses sensuelles, aides à la masturbation, allant parfois jusqu’au rapport sexuel sans pénétration. Mais en France, un tel service reste pour l’instant impossible : aucun texte législatif n’existe pour encadrer de telles pratiques, elles sont donc assimilées à de la prostitution.
Las de cette hypocrisie, les personnes handicapées, leurs proches et certains professionnels s’organisent. A Marseille par exemple, des parents constituent des réseaux de bénévoles pour accompagner leurs enfants rencontrer des prostituées. L’association Choisir sa Vie travaille avec une masseuse professionnelle à l’élaboration, par la pratique, d’un service d’accompagnement sexuel.
Nous vous proposons d’aller à la rencontre de ces personnes concernées par le handicap ou handicapées elles mêmes et confronté au problème du droit à la sexualité. Elles nous racontent leurs besoins, leurs souffrances, les solutions qu’elles inventent et leurs espoirs. »